
Même s’il n’est plus là, Jack Ralite fait parler de lui. Une journée en sa compagnie, hier à Avignon. Coorganisé par le Festival d'Avignon, la Maison Jean Vilar et le Parti communiste français, cet hommage qui ne s’en voulait pas un fut un succès.
Le PCF, véritable maitre d’œuvre de cette journée, a mis en avant ce qui lui tenait le plus à cœur : Le théâtre, la pensée, la poésie et le politique. La Maison Jean Vilar lui avait ouvert les portes. En présence de Pierre Laurent, secrétaire national du PCF et de Leila Shahid ancienne ambassadrice de la Palestine en France, puis à Bruxelles auprès de l’Union européenne.
Oui Jack, avec qui j’ai partagé le combat pour la liberté de création et la sauvegarde du statut des intermittents du spectacle, lui au sénat, moi à l’assemblée nationale, était de ceux qui concevaient la lutte pour l’émancipation humaine d’un point de vue universel donc local.
Partout, il menait le même combat celui de la libération humaine, de la création, de la culture au sens large et du droit au beau pour tous.
Il voulait déscléroser la pensée communiste et sortir celle-ci, et toutes les autres, du sectarisme destructeur d’humanité.
Oh combien ce combat n’est pas terminé !