Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Ce que l’on nomme économie de marché sévit sur toute la planète. Pratiquement aucun espace, aucun territoire, aucun continent, aucune nation n’y échappe.

Bien plus que nous le pensions, elle modèle notre façon de vivre, de consommer, de penser. Elle est une pratique sociale devenue naturelle. (En avons-nous eu une autre un jour ?)

Et pourtant, ce « modèle », sauf pour une infime minorité de citoyens, ne porte pas l’espérance de chacun. La prééminence de l’économie sur les valeurs humaines, de la seule logique du critère de rentabilité sur le développement, de la domination de l’intérêt privé sur la justice sociale, indigne les Hommes. Un rejet diffus, mais bien réel, se propage dans le monde, celui de la puissance de la finance.

Alors regardons les choses en face, refuser la mondialisation c’est comme refuser de respirer. C’est impossible si l’on veut vivre. Les échanges ont toujours été l’énergie et le moteur de l’humanité, un processus d’humanisation de l’homo sapiens. 

Mais refuser le capitalisme c’est comme refuser la maladie. C’est indispensable si l’on veut vivre. C’est se dégager de la loi du plus fort pour construire le bien commun. L’échange équitable peut devenir l’avenir conscient de l’homo sapiens. Un saut qualitatif de grande ampleur pour l’avenir de l’humanité.

Ne nous trompons pas de cible !

« Une gouvernance mondiale pour mettre la finance au service des peuples, au service de la liberté et du développement, voilà notre objectif. » BOCQUET Alain et Éric

Tag(s) : #Monde
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :